+33 660 124 243
info@romaintennisteam.fr
0
Register Login
No apps configured. Please contact your administrator.

Connectez-vous via votre compte

No apps configured. Please contact your administrator.

Mot de passe oublié ?

Pas encore membre ? Inscrivez-vous maintenant

RomainTennisTeamRomainTennisTeam
  • ACCUEIL
  • FORMATIONS
  • CAPSULES
  • Success Stories
  • BLOG
  • HERVÉ ROMAIN
  • Events
Retour
  • ACCUEIL
  • FORMATIONS
  • CAPSULES
  • Success Stories
  • BLOG
  • HERVÉ ROMAIN
  • Events

FORMATION MENTALE TENNIS

10/ Accélérer l’apprentissage d’un geste technique

Séance 10: (Pms®) Durée : 21′ 23”

https://romaintennisteam.fr/wp-content/uploads/2019/11/seance-10-Accelerer-lapprentissage-dun-geste-technique.mp3

Accélérer l’apprentissage d’un geste technique :
Et si vous découvriez une technique d’apprentissage efficace qui va vous permettre de réduire significativement le temps d’acquisition d’une technique? Apprendre c’est bien… mais devenir performant dans son apprentissage, c’est encore mieux non ? Alors, comment progresser à grande vitesse dans vos entraînements techniques ? …

Allez plus loin!

Visualisation et sport

Dans le domaine du sport de haut niveau, la pratique mentale est utilisée depuis des décennies pour améliorer les performances des athlètes. Elle vient s’inscrire dans le programme d’entraînement comme un complément aux exercices physiques et techniques à proprement parler. Son intérêt s’explique assez simplement, puisque la stimulation nerveuse provoquée par une séance de visualisation permet d’activer les neurones concernés par le mouvement sans pour autant déclencher ce dernier. Mais en quoi cette approche apporte-t-elle un bénéfice supplémentaire par rapport à une exécution réelle des mouvements ?

Visualisation et force musculaire

bodybuilder-646495_1280

De nombreuses études1,2,3 montrent que le simple fait de visualiser un mouvement fait gagner à peu près autant de force que le fait de l’effectuer réellement.

Mais attention, pour que cela fonctionne, il faut pleinement imaginer l’exécution du mouvement, et augmenter la résistance virtuelle de manière régulière comme dans une vraie séance de préparation physique.

La visualisation seule permet de gagner en force, autant que la pratique réelle d’un mouvement

Dans ces études, il s’agit donc de s’asseoir et de visualiser l’utilisation d’une machine de musculation (ou la réalisation d’un mouvement de musculation) pour un certain nombre de répétitions et de séries, avec un temps de repos entre celles-ci. A chaque session, le sportif doit imaginer qu’il augmente la charge. En réalisant ceci 15 min par jour, 5 jours par semaine, on obtient un gain de force équivalent à la pratique réelle. Il faut cependant connaître le mouvement en question et l’avoir pratiqué au préalable pour générer une visualisation pertinente.

Les facteurs qui augmentent les effets de la visualisation

Les éléments qui vont influencer l’efficacité d’une telle pratique sont la précision, la bonne visualisation du mouvement, la fréquence de la pratique mais aussi l’association avec un mouvement réel4. Ainsi, la recherche nous indique que la visualisation seule est utile, mais qu’elle peut aussi être pratiquée en même temps qu’un mouvement réel pour le rendre plus efficace.

L’association de la visualisation à un entraînement permet également d’obtenir plus de gains de force qu’un entraînement seul5. Cela est notamment vrai quand on effectue les mouvements mentalement pendant les périodes de récupération entre deux séries de mouvements réels3,5. De même, il est plus efficace de guider soi-même sa session de visualisation plutôt que d’écouter quelqu’un ou un enregistrement. Le processus est ainsi réellement un processus actif (on est totalement source et acteur de notre pratique mentale).

En conclusion, quelle que soit la modalité choisie, combiner des séances de visualisation précises et riches en détails avec des séances d’entraînement bien menées est plus efficace que de réaliser un entraînement seul.

Visualisation et mouvement

La visualisation permet d’agir sur le système nerveux et son intérêt ne se limite donc pas uniquement à la pratique de la musculation ou de tout autre sport. En effet, on constate que la réhabilitation après une blessure est meilleure quand de la visualisation est associée à la rééducation motrice.

Après un accident ou une blessure, on peut donc agir mentalement pour être plus vite sur pied, dans la limite des dommages subis (nerveux, musculaires, etc.). La visualisation est donc un complément de choix aux séances de kinésithérapie et de rééducation.

La visualisation est utile pour développer n’importe quel geste technique moteur (comme par exemple ceux nécessaires pour jouer un morceau de piano).

 

Les bénéfices de la visualisation étant présents pour tout type de mouvement, on peut l’utiliser pour :

  • être plus précis dans un geste sportif (service au tennis, squat en musculation, coup de pied au karaté, etc.)
  • améliorer un geste technique professionnel
  • accélérer l’apprentissage d’un instrument. Un guitariste ou un violoniste pourront ainsi effectuer des séances de visualisation pour pratiquer des gammes ou répéter un morceau en imaginant leurs doigts exécuter les mouvements appropriés sur le manche de leur instrument

Coté Coach!

Augmenter ses performances grâce à l’imagerie motrice

L’imagerie « motrice » (IM) (ou imagerie de « reproduction ») est le fait d’imaginer un mouvement ou un geste technique sans manifestation physique observable. Les premières nombreuses études sur imagerie et sport se sont principalement concentrées sur le fait que l’imagerie motrice pouvait favorisait l’apprentissage moteur, l’amélioration de la technique ou de l’habileté sportive en vue d’optimiser la performance sportive. De ce fait, nous pouvons souvent entendre dire qu’un « un geste imaginé équivaut à un geste réalisé ». Mais qu’en est-il exactement ? Depuis plusieurs années les neurosciences et la psychophysiologie tentent de répondre à cette question et ont effectivement mis en avant des similitudes entre mouvement réel et imaginé.
D’abord, notons des similitudes au niveau de l’activation des structures cérébrales. En 2008, Hanakawa et Al., ont mis en évidence ces similitudes.

Les zones en bleu turquoise indiquent les aires cérébrales activées par l’imagerie motrice. Les zones en violet indiquent les aires cérébrales activées par le mouvement réel. Les zones en bleu foncé indiquent que les aires cérébrales qui sont activées à la fois par le mouvement réel et imaginaire. L’intensité des activations cérébrales au cours de l’IM est toutefois réduite comparativement à celle induite par le mouvement volontaire (Lotze et Halsband, 2006).

Ensuite, notons une similitude comportementale : l’isochronie. Beaucoup d’études ont identifié une forte corrélation entre les durées des mouvements réels et imaginés (Decety et al., 1989 ; Munzert, 2002 ; Papaxanthis et al., 2002).

Guillot (2008) précise qu’il y aurait donc un risque potentiel de transformation involontaire du mouvement, lorsque le travail mental ne respecte pas le principe de l’isochronie. En effet, Boschker et al.(2000) ont testé des sujets ayant appris une séquence de 12 mouvements rythmiques des membres inférieurs (déplacements d’appuis) à vitesse « normale », puis ont été répartis dans 5 groupes : pratique physique ralentie, pratique physique accélérée, imagerie motrice ralentie, imagerie motrice accélérée et condition contrôle. Les résultats ont montré qu’un entraînement mental accéléré ou ralenti pouvait modifier la vitesse d’exécution réelle du mouvement. Ces résultats ont été également observés par Guillot (2008) chez des judokas de niveau national (ceintures noires).

L’auteur précise : « ces effets témoignent à la fois des dangers et des bénéfices que peut procurer la non-conservation des caractéristiques temporelles du mouvement pendant l’imagerie. Elle peut conduire le sujet à modifier involontairement la vitesse d’exécution, probablement au détriment de la qualité du mouvement. Au contraire, un sujet capable de reproduire la durée du mouvement pendant l’imagerie pourrait, dans un deuxième temps, modifier volontairement sa durée pour corriger une gestuelle ou gagner en vitesse d’exécution ».

Enfin, notons des similitudes au niveau de l’activation du système nerveux autonome (neurovégétatif). Selon Di Rienzo (2013), au cours de l’imagerie motrice, il y aurait une certaine préservation de la commande neurovégétative au niveau de l’activité cardiorespiratoire et électrodermale.

Nous pouvons donc, mettre en évidence, l’intérêt d’intégrer l’imagerie mentale aux entraînements des sportifs. D’autant plus, que celle-ci ne génère pas de fatigue neuro-musculaire par rapport aux entraînements réels (Rozand et Al., 2014). Il n’a plus qu’à…

Laisser une réponse Annuler la réponse

Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.

9/ Programmer votre esprit à réaliser des perfs
Préc.
11/ Récupération du joueur de tennis après l’effort
Suivant

Get in touch

+33 6 60124243

info@romaintennisteam.fr

18 rue Cayenne, 30530 La Vernarède, FRANCE.

Useful Links

  • About me
  • FAQs
  • Contact
  • Clients
  • News
  • Success Stories
  • Shop
  • Privacy policy

Social Links

  • Facebook
  • Twitter
  • Pinterest
  • Instagram
  • Youtube

Newsletters

Subscribe to get updates right in your inbox. We promise to not send you spams.

Mentions légales et CGV - cookies - règlement Roamin Tennis Team. | Copyright 2022 Romain Tennis Team, tous droits réservés. Les contenus, vidéos, animations et photographies de ce site ne peuvent être utilisés sans autorisation..

  • ACCUEIL